Des Ethnologues Féminines Au Pays Des Hommes Nus… Chapitre 5. Lola, Une Autre Bonniche

Lola une autre bonniche… Qui refuse de se laisser r… En dépassant probablement à son tour les limites… Mais c’est tellement jouissif pour elle, et pour nous les femmes, qui lisons cette histoire…

Lola nettoyait la maison d’Alice, une dame d’une cinquantaine d’années qui hébergeait encore le grand gamin de son compagnon décédé alors Serge, le garçon était encore très jeune… Les parents aurait évidemment pu s’appeler Tanguy, mais sa vraie maman biologique avait plutôt choisi Serge… À la naissance, elle ne pouvait pas savoir qu’il serait un incruste !
Alice, la belle-mère donc, passait beaucoup de temps à l’extérieur pour son travail, pendant que son grand garçon, de 25 ans quand même, glandait et squattait la maison. Lola avait dû s’en accommoder, comme elle avait rapidement dû s’accommoder de ses séances d’exhibition. Ça avait d’abord été au détour dune porte ou d’un escalier et elle avait évidemment cru au hasard. Ça l’avait plutôt fait sourire d’apercevoir ce jeune homme nu, ses fesses et sa quéquette. Et puis ça s’était répété. Trop souvent que pour qu’on ne croie encore au hasard. D’autant plus que dans le même temps, Serge s’enhardissait… Et ce n’était plus du tout subrepticement que Lola pouvait admirer cette nudité… Nudité qui d’ailleurs ne l’amusait plus… Quand elle travaillait à l’étage, il se déplaçait la bite à l’air et régulièrement en mode garde à vous pour se rendre de la salle de bain à sa chambre et inversement. Il feignait également de temps en temps de dormir, la porte grande ouverte, la main accrochant ses bijoux. Elle se sentait salie par cet ur… ce gros dégueulasse… Un jour, n’y tenant plus, elle avait été trouver la belle-mère que Serge appelait bêtement Tatie Alice pour dénoncer les attitudes irrespectueuses de son (parce que c’était SON) gamin de 25 ans… Mais elle l’avait rabrouée, lui exposant que son beau-fils lui avait expliqué les mêmes rencontres, mais que d’après lui c’était elle qui en était la responsable, c’était elle qui ouvrait la porte de la salle de bain ou de la chambre quand il était nu… Elle lui avait d’ailleurs signalé qu’elle allait s’occuper de l’affaire, sanctionner la bonniche et la menacer de renvoi en cas de récidive… Elle l’avait trop bien élevé ce gamin que pour se rabaisser à des attitudes pareilles !
La semaine suivante Lola se rendit rapidement compte que Serge avait été mis au courant par sa belle-doche… Il la toisait avec morgue, s’exhibant davantage encore… puisqu’il avait décidé de se promener nu dans toute la maison, et même de la suivre dans les différentes pièces où elle se rendait, la bite toujours pointée en avant ! Lola ne le supportait pas.

Elle qui par ailleurs aimait beaucoup les hommes, aimait beaucoup le sexe, et même aimait beaucoup voir des hommes nus et leur biroute en érection, ne supportait plus la vue de ce petit mec. Pourtant, quand elle réfléchissait, il n’était pas moche à regarder, et il avait une queue de belle proportion… Mais non, avec lui, ça ne passait pas…
Elle aurait bien claqué la porte, mais putain, elle avait besoin de cet argent ! Restait une autre solution, le piège… Et c’est vers cette solution que son cœur pencha. Au fur et à mesure qu’elle élaborait son plan, un sourire de plus en plus large éclairait son visage. La vue de la queue de Serge commençait même à avoir un effet différent… Une certaine jouissance intellectuelle montait, jouissance intellectuelle qui avait des conséquences jusque dans sa culotte, où elle ressentait même une certaine chaleur quand Serge la poursuivait la queue en avant. Elle s’était posé des questions… Etait-ce la vue de cette biroute en érection qui la faisait mouiller ? Mais elle s’était rapidement rassurée… C’était plutôt l’élaboration de son plan qui la mettait dans cet état.
Et le jour J arriva. Serge n’était pas encore levé quand elle était arrivée au boulot. Le café était chaud et dégageait une bonne odeur. C’était le café que la belle-maman préparait pour son petit, mais elle s’en octroyait régulièrement une bonne tasse… Comme il n’était pas encore debout, elle installa son matériel, une petite caméra qu’une amie lui avait préparée… Autonomie de la batterie, 3 heures. Durée de la cassette, 2 heures… largement suffisant pour filmer les scènes ! Puis elle s’était mise au travail, faisant suffisamment de bruit que pour réveiller l’homme à l’étage… elle entendit rapidement son pas lourd dans l’escalier. Il était toujours lourd le matin… Vite elle poussa le bouton de la caméra et elle entendit le mécanisme se déclencher. Il apparut dans l’embrasement de la porte, la pine triomphante…
- Salut Salope !
- Ça commence fort ce matin, pensa Lola qui ne répondit pas.

Le tounu se dirigea vers la cuisine pour se servir une tasse… qu’il revint siroter en tournant autour de Lola. Il se sentait d’humeur gaillarde ce matin. Il lui parlait davantage, et ses propos étaient bien entendu dédaigneux et assez graveleux :
- Lola… t’as des gros nichons bien tentant… Tu devrais me les montrer petite salope… Regarde, moi je te montre bien tout ce que j’ai…
Et d’un geste qu’elle trouva obscène, il soupesa son service trois pièces. Elle le trouvait obscène ce geste, alors que quand c’était son Jerry qui dans le temps prenait cette posture qu’il aimait beaucoup, ça la faisait rire.
Lola continua son travail, l’air de rien… Mais Serge insistait :
- Allez, Lola, montre-moi tes lolos… tu vois comme je suis poétique… Lola, lolos, c’est pas mal hein…
Et comme elle ne réagissait toujours pas, il tenta une approche… elle se dégagea rapidement, mais il insista violemment et elle sentit son érection qui s’écrasait sur sa hanche. Elle eut un soubresaut, qu’elle ne parvint pas à identifier… Dégoût ou allégresse ? Allégresse, très certainement, parce que la situation était idéale pour enclencher la deuxième phase de son plan…
Elle sortit la bombinette de gaz qu’elle avait cachée dans la poche de son tablier et en aspergea le visage du vicieux. Serge hurla, et tomba à genoux, une main devant ses yeux, l’autre essayant de s’accrocher à elle. Elle se dégagea d’un mouvement, fila jusqu’à la chambre de l’homme, ouvrit le tiroir de sa table de nuit et en fouillant un peu dans le brol qui s’y trouvait, elle en sortit une paire de menottes qu’elle avait repérée, un jour qu’elle faisait la chambre. Elle redescendit jusqu’au milieu de l’escalier où elle attacha une menotte à un barreau. Puis elle termina la descente et retrouva l’homme couché sur le carrelage qui geignait en se frottant les yeux…
Elle lui refila un coup de pied, pas violemment, mais pour lui faire comprendre qu’elle était de retour…
- Saaalope ! Qu’est-ce que tu m’as fait connasse ! Je vois plus rien !
- T’inquiète mon gros, ça va passer dans quelques minutes si t’es sage… Si t’es sage parce que si t’es pas sage je t’en remets une giclée !
- T’as pas intérêt putain… Quand je t’att, je te casse la gueule…
- Bon, maintenant, je vais te demander d’être poli avec moi… Une insulte égale une punition… Et tu sais maintenant de quoi je suis capable !
- Tu crois que tu me fais peur dévergondée… viens ici que je t’att seulement !
- Dévergondée ? Je dois considérer ça comme une insulte ?
- Tu considères ça comme tu veux p’tite pute, connasse, salope…
- Houlà ! Ça, se sont de vraies insultes ! trois insultes ! trois punitions !
Et elle lui envoya un coup de pied plus violent sur la cuisse !
- Mais ça va pas la tête t’es complètement tarée ! Malade mentale !
- Nous disions donc, trois, moins une, plus deux… T’as intérêt à te calmer, parce que, tu va le sentir passer !
Et levant la main, elle frappa de toutes ses forces sur une fesse nue qui apparaissait si disponible…
- Putain !
Vlan ! Une deuxième fessée !
- Connasse !
Et de trois…
- Continue, tu commences à bien m’amuser ! Je te dois toujours disons quatre punitions… tu dis plus rien ? Tu te calmes ? Voilà qui est bien ! Allez relève-toi, et viens avec moi !
Et elle attrapa le tounu par le bras pour le forcer à se relever… Ce dont il profita en l’agrippant des deux mains, d’abord par le bras, puis avant qu’elle ne puisse réagir par le cou, tentant ainsi de l’.
Mais sa position de force fut d’une extrême courte durée. Une nouvelle giclée transperça les yeux de Serge. Nouvel hurlement ! Et nouvelles insultes…
- J’en compte cinq de plus ! Encore du plaisir pour moi en perspective. Allez, amènes ton lard.
L’homme ne dit plus rien, mais il résista…
- Tu résistes ? Alors, atts ça !
Et une superbe fessée atterrit sur l’autre fesse, déclenchant un hurlement… Manifestement il ne l’attendait pas, celle-là !
Mais malgré la fesse brûlante, il ne broncha pas et refusa d’avancer…
- Tu veux les grands moyens mon gros… tu sembles oublier que tu n’es pas en position de force ! Et les armes, c’est toi qui me les as données…
Et glissant entre les fesses, elle attrapa les couilles de l’homme et tira fortement en arrière, déclenchant de nouvelles invectives… Mais c’était cependant la solution. Plutôt que d’avancer, l’homme reculait, mais dans la direction que Lola lui indiquait en tirant fermement ses pauvres bijoux endoloris… La jeune femme l’amena ainsi jusqu’à la rampe d’escaliers… Elle lui ordonna de lever les bras. Il obtempéra à la troisième fessée. Avant qu’il ait pu réagir, elle referma la deuxième menotte sur son poignet.
- Et voilà ! Tu es mon prisonnier, maintenant !
Elle ouvrit le tiroir de la commode qui se trouvait à côté d’elle, et en sortit trois foulards… de marque ! Qui appartenaient à la reine-mère. L’homme, à poil, aveugle et attaché, ne désarmait cependant pas encore. Il ruait à qui mieux-mieux, de manière totalement inefficace, Lola surveillant son manège. Elle le laissa s’énerver quelques secondes, et fila chercher la caméra qu’elle installa dans un endroit plus adéquat pour mieux filmer la suite du programme. Comme il semblait se calmer, elle fit rapidement un nœud coulant au foulard, et le glissa sans qu’il ne puisse réagir à son autre poignet… elle glissa une cuillère en bois à l’autre extrémité du lien qu’elle avait créé, et glissant la cuillère entre deux barreaux, elle tenta tant bien que mal de la coincer.
Sans bien se rendre compte de ce qui se passait, il ne réagissait pas, ce dont elle profita pour regrimper quelques marches et tirant violemment sur le foulard, elle réussit à l’attacher pour que l’homme se retrouve les deux bras en l’air, totalement à sa merci. Il avait les fesses contre le mur et les coucougnettes complètement offertes !
- Ça donne soif, tout ça… Je vais aller boire un coup… Tu t’en vas pas hein ! rigola-t-elle.
Elle le laissa patauger quelques minutes, pour qu’il réalise davantage la situation dans laquelle il se trouvait, et aussi pour qu’il retrouve l’usage de ses yeux.
Ses yeux piquaient encore quand elle revint près de lui, mais il la distinguait nettement… Il n’avait cependant pas encore désarmé…
- Tu vas me détacher salope ! Attends que je sois libéré… Tu vas passer un mauvais quart d’heure ! Salope !
- Je compte toujours mon gros… si tu veux que je fasse à nouveau chauffer tes fesses, tu peux continuer… Je t’ai dit que moi, ça m’amusait !
Il devait avoir les fesses assez douloureuses car il se calma, même si ces yeux rougis par le gaz, montraient également de la colère.
Il tenta enfin de négocier…
- D’accord, j’ai déconné… je m’excuse… tu peux me détacher, et me dire ce que tu veux en échange…
- Je négocie pas avec toi petit bonhomme… Je négocie qu’avec ta tatie…
- Avec tatie! s’effraya le tounu.
- Non, pas avec tatie ! Faut la laisser en dehors de tout ça !
- Tuuut tuuuut tuuuut ! Tu m’as fait passer pour une dévergondée… c’est ça le mot que tu utilisais tout à l’heure non ? Tu m’as fait passer pour une dévergondée et une menteuse… J’ai bien l’intention de rétablir la vérité… Avec ta tatie… Bon, passons à la suite du plan… tu m’attends deux secondes, j’arrive…
Elle fila dans le bureau, chercher un gros marqueur rouge…
Lola s’approcha de l’homme, le marqueur en avant pour écrire sur son torse, mais une ruade l’envoya valdinguer de l’autre côté de la pièce.
- Aïe… tu m’as fait mal… connard ! T’as intérêt à me laisser faire pourtant !
Mais un nouvel essai d’approche déclencha à nouveau des tentatives de coups de pied. Pas décontenancée pour autant, Lola attrapa une écharpe dans le tiroir, et au soubresaut suivant, elle attrapa fermement une jambe de l’homme, et lui fit perdre l’équilibre… Il se retrouva pendu par les poignets dans une position tout à la fois grotesque et douloureuse, mais qui le rendait aussi complètement inoffensif. Sauf en mots, car il ne se priva pas d’injurier une fois de plus copieusement Lola, ce qui la fit sourire… Elle noua l’écharpe à sa cheville, et pendant qu’il cherchait à retrouver l’équilibre, elle lia l’autre bout au pied de la lourde commode qui se trouvait à côté. Serge se trouvait maintenant écartelé, seule une jambe était encore disponible, mais il devait être attentif à elle pour ne pas perdre sa stabilité. Le marqueur s’approcha à nouveau de la poitrine… Et elle écrivit…
- Lola, lolos, c’était poétique, tu te souviens ? Moi, je te propose un autre poème : Serge, petite verge… c’est joli aussi, non ?
Serge grommela quelques mots inaudibles, et Lola pensa qu’il valait mieux qu’ils le soient !
- Bon, mais je vais m’en aller, maintenant… ça va faire plaisir à Tatie Alice de retrouver son petit gamin la quéquette à l’air, non ? Faudra qu’elle te libère aussi… Tu vas pas rester pendu comme ça, jusqu’à la fin de ta vie, hein ? Tu risques d’attr un rhume de zizi ! Tu sais quoi, je vais lui laisser mon numéro de téléphone à tatie Alice, comme ça on pourra s’arranger pour que tu sois libéré… T’as pas un bout de papier ? Ah ! Mais non, je suis bête, tu ne sais pas aller me le chercher ! C’est pas grave, j’ai une autre idée !
Elle s’approcha de Serge et lui empoigna la queue qui s’était toute recroquevillée suite aux divers événements désagréables que son propriétaire avait vécus. Quelques mouvements bien cadencés et le sexe retrouva toute sa raideur.
- Tu vois, tu voulais que je sois gentille, et bien, je le suis !
La queue rigide s’offrait maintenant à elle, comme un plan d’écriture idéal pour y inscrire son numéro de téléphone. Elle reprit son marqueur et s’appliqua. Les mouvements quelques peu désordonnés de Serge ne la désarçonnaient pas. Elle écrivait bien grand, car il y avait suffisamment de place. Arrivée au bout de la pine à Serge, elle le décalotta, inscrivit un chiffre sur le gland, puis recalotta et termina d’inscrire le numéro de téléphone sur l’autre face du sexe. Elle se mit à rire…
- J’imagine déjà la vieille quand elle va essayer de lire le numéro… ça va vous amuser tous les deux, j’en suis sûre ! Tu crois que tu vas bander comme maintenant quand elle va te manipuler le zizi ?
Serge rougissait de colère et de honte…
Tout était maintenant en place, il ne lui restait plus qu’à partir. Elle fila à la salle de bain, attr une taie d’oreiller, l’enfila sur la tête de Serge pour qu’il ne puisse pas voir qu’elle changeait de cassette et de batterie pour la caméra, qu’elle réinstalla au même endroit discret… Elle s’approcha une dernière fois de lui, retira la taie, lui attrapa vigoureusement les coucougnettes et en serrant raisonnablement fort, elle approcha son visage du sien et le regardant dans les yeux, elle lui souffla :
- Et ça, c’est pour toutes les punitions que tu n’as pas eues !
Et elle s’en alla chez sa copine Elena pour attendre l’appel téléphonique. Ça lui avait coûté un peu d’argent, mais ce numéro de téléphone, elle l’avait imaginé à usage unique. Quand elle aurait reçu cet appel, elle jetterait la carte, et ce numéro ne servirait plus. Elle profiterait aussi de sa visite chez Elena pour faire des copies de la cassette… Ce pouvait être des preuves bien utiles !
Elena s’amusa de l’histoire que Lola lui raconta. Elles rirent beaucoup aussi en imaginant l’Alice débarquer chez elle et découvrant son gamin adoré en aussi fâcheuse posture. Lola avait quitté Serge depuis 3h quand le téléphone sonna… Il avait dû patienter le bonhomme !
Ce fut d’abord l’engueulade. Lola écoute quelques secondes, puis raccroche sans rien dire. Resonnerie. Mais Lola ne décroche pas. Nouvelle tentative, toujours sans résultat. Au troisième essai, Lola décroche et l’engueulade continue. Elle coupe à nouveau la conversation en souriant, un clin d’œil à Elena ponctuant son geste. Quelques courtes minutes passent et quand elle pose à nouveau le portable à son oreille, la voix de l’autre côté est davantage maîtrisée, même si Lola croit percevoir un tremblement dans la voix.
- Je téléphone pour que tu m’expliques comment je peux faire pour détacher Serge !
- Je préfère quand tu es plus polie… c’est comme pour ton gamin… je lui ai fait comprendre que les injures ne menaient à rien… Il t’a montré ses fesses ? Je crois qu’elles s’en souviennent !
Elle ne l’avait jamais tutoyée, mais les circonstances lui commandaient d’agir ainsi.
- Je suis là dans 5 minutes, et on va tout organiser pour qu’on puisse libérer ce beau gamin… C’est vrai que c’est un beau gamin… Et tout nu encore plus hein ! Tu le vois souvent tout nu ? Moi, tu sais, j’ai l’habitude !
Pas de réponse de la belle-mère, mais ce n’était pas grave. Elle raccrocha, envoya un bisou du bout des doigts à sa copine et se rendit à son rendez-vous.
Elle arriva devant la maison. C’était une villa quatre façades, avec deux garages au niveau de la rue. Il fallait donc grimper une quinzaine de marches, puis encore parcourir 5 mètres pour arriver jusqu’à la porte… Elle fit le trajet, non sans une petite appréhension, mais également avec une volonté inébranlable… Elle savait ce qu’elle voulait faire et obtenir, et elle le ferait et l’obtiendrait !
Elle devait être épiée, car la porte s’ouvrit à son arrivée. La mère l’empoigna par le bras et la secoua, tout en l’abominant d’injures. Mais elle se dégagea fermement.
- Toi ta gueule, et tu arrêtes de m’insulter, sinon, je pars et je reviens peut-être demain, si j’ai le temps !
La menace fit son effet.
Lola s’approcha de Serge que sa belle-mère avait détaché de ses liens en tissu et à qui elle avait enfilé un short et passé une couverture autour des épaules. Lola lui glissa doucement la main sur le torse, puis sur le ventre.
- Alors, t’as raconté à tatie Alice ce qui s’était passé ? Tu veux bien lui raconter encore une fois quand je suis là ?
- …
- Allez raconte à tatie comment tu es encore arrivé ce matin tout nu avec sa petite quéquette toute droite et comment tu es venu frotter cette petite quéquette contre moi pour que je te montre mes seins… tu racontes, où c’est moi qui dois le faire ?
- …
- Ce n’est pas ce qu’il m’a expliqué ! intervient la belle-mère.
- Vous êtes une sacrée menteuse ! En fait, c’est vous qui vous êtes mise la poitrine à l’air pour aller dans sa chambre et l’exciter !
- Et vous le croyez bien sûr… C’est un petit chérubin que vous avez là, un petit chérubin qui ne ferait pas de mal à une mouche et qui est bien sûr incapable d’avoir la moindre pensée impure… Quant à une attitude inconvenante avec une femme, il vous est proprement impossible d’y penser !
Et plaquant sa main sur le short, à hauteur de la queue et des couilles de Serge, elle commença à les malaxer vigoureusement.
- Alors gros porc, tu expliques à ta tatie chérie, que je ne suis pas une menteuse, mais que toi tu es un gros obsédé… Hein… raconte !
Et sa main d’emprisonner fortement les coucougnettes et d’augmenter la pression.
- Mais vous allez le lâcher, espèce de pouffiasse ! Vous voyez bien que c’est vous la dégueulasse ! Provocatrice ! Allumeuse !
- Il y a deux choses que je lui ai expliqué tout à l’heure à votre grand chérubin. D’abord que ce n’était pas bien de ne pas dire la vérité, surtout quand on n’était pas le plus fort et qu’on mettait ses points faibles à disposition…
Et elle serra plus fortement ce qu’elle tenait en main…,
- et deuxièmement…
Elle lâcha l’homme et approcha son visage à quelques centimètres de celui de la belle-maman…
- Je refuse absolument toute injure sous peine de punition… Vous m’avez injuriée, vous serez sanctionnée…
- Je voudrais bien voir comment ! » pouffa la vieille…
- Et bien, nous allons commencer ! » confirma la bonniche.
Elle inséra une cassette dans le magnéto et la séance de cinéma débuta démontrant aux yeux de tatie Alice, la face cachée de ce qu’elle considérait être son charmant bambin, une face fort peu vêtue !
Serge, toujours attaché à l’escalier ne voyait rien de ce qui passait à la télé, mais il pouvait observer avec une inquiétude qui grandissait le visage de sa tatie qui se décomposait.
La projection était terminée. Tante Alice avait repris le dessus.
- Bon d’accord, Serge a un peu merdé… mais il est temps de le libérer maintenant ! Vous exagérez aussi de votre côté !
- Je le libère tout de suite, mais à mes conditions… Nous imaginons bien tous que ce qui s’est passé aujourd’hui ne pourra que nuire et même être fatal à nos relations professionnelles. La première condition est donc pécuniaire : tu me verses ce que tu me dois pour le mois et le mois passé que tu n’as pas encore réglé…
- Ça me paraît correct, mais vu l’état de la maison aujourd’hui, je ne vous paierai pas ce jour…
- Hélà radine ! Si si ! Aujourd’hui aussi ! Rien que pour sa pine qu’il a frottée contre moi, tu dois me payer !
- Bon d’accord… souffla la femme en regardant assez méchamment le grand dadais à moitié à poil…
- Mais vous ne me demandez plus d’argent hein !
- Si bien sûr ! Ce n’est pas terminé… tu me paies, et ce que je recevais de ta part me permettait de vivre… il va falloir que je me retourne et que je trouve un autre boulot… Et tout ça à cause de ce cochon…
Le cochon baissa les yeux…
- Tu me dois un préavis, que je fixe à 6 mois… Tu me dois donc 6 mois d’avance à raison de 400€ par mois, cela te fait 2400€… on va arrondir à 2500…
- Non, mais ça va pas la tête ! je ne vous paie jamais ça sur 6 mois… Il n’en est pas question ! Voleuse !
- Hé ! Attention les insultes ! On avait dit pas d’insultes sous peine de punition… Déjà que tu en as plusieurs à ton compteur ! Et donc, on ne discute pas ! Les 2500€ de préavis, le mois passé à 380€ et ce mois ci, qui n’est pas terminé, disons à 260€. Ce qui fait un total de 3140€, ne soyons pas chiche, j’arrondis à 3200 !
- Non, mais vous commencez à exagérer, 2500, c’est bien suffisant. En plus ce n’était pas toujours propre quand vous veniez…
- Je considère ça comme une insulte supplémentaire… il va falloir arrêter, je ne suis pas sûre d’avoir assez d’idées de punitions !
- Bon, vous avez gagné… Mais je n’ai pas ça en cash, vous comprenez bien. Donnez-moi votre numéro de compte, je vous verserai ça !
- Tssss, tssss, tssss ! Faut pas me prendre pour une conne, même si le nombre de gros mots que vous m’avez envoyés me font penser que vous pourriez avoir de telles pensées à mon égard…
Un temps d’arrêt…
- Mais je ne te fais pas assez confiance… Tu vas me chercher tes sous à la banque ou à un distributeur, t’en as maximum pour 10 minutes, et moi je t’attends avec Serge… hein Serge !
- …
- Je crois que je n’ai pas le choix… Je suis bien obligée de céder à votre chantage !
- Mais ce n’est pas du chantage, je ne vais recevoir que mon dû … Mais avant de partir… la première petite punition… Je vais te demander de déculotter le gamin, là, pour que je puisse un peu m’amuser avec lui ! C’est drôle, tu ne trouves pas… il me dégoutait à se promener à poil, mais maintenant, dans cette situation, ça commence à vraiment m’amuser de le voir tout nu et de pouvoir jouer avec son petit oiseau ! Hein que c’est drôle Serge ?
- …
- Allez la mère, ne fait pas la Sainte Nitouche… fous le gamin à poil !
- Non, ça, il n’en est pas question… espèce de grosse perverse !
- Je ne considérerai pas ça comme une insulte, parce que tu as sans doute un peu raison… Mais à force de fréquenter un pervers comme ton bonhomme là… ça m’a donné des idées… Allez à poil Serge ! C’est la première des punitions que tu me dois.
- Et si je refuse ?
- Pour moi, il peut rester attaché toute la nuit, et même la nuit prochaine…
- Mais je peux essayer de trouver quelqu’un pour le libérer aussi…
- Ça c’est tout à fait évident… je m’étonne même que tu n’y aies pas pensé avant… Je me demande ce que tu vas trouver pour expliquer pourquoi le gros lard est attaché avec des menottes et à moitié à poil ! Mais c’est comme tu veux… tu peux me foutre à la porte… et même ne pas me payer ! Mais j’ai une cassette qui fera bien rire les voisins et les quelques copines que tu as et que je connais… C’est à toi de voir… Tu te décides tout de suite… Je m’en vais ou tu respectes mes conditions… Dis-moi…
- …
- Bon, c’est pas grave, je m’en vais…
- Non, cria Serge, honteux à l’avance de voir la vidéo de sa quéquette exhibée chez les voisins.
Lola interrogea la mère du regard…
- Bon, vous avez vraiment gagné… Je vais chercher l’argent »
Lola : Mais avant…
Et d’un geste du menton, elle désigna l’homme…
Résignée la mère s’approcha et libéra la queue de son gamin de 25 ans…
Lola s’en saisit et dit :
- Voilà, toi tu vas me chercher les sous et nous on va jouer, hein Serge que ça va être gai nous deux…
Malgré la pénibilité de la situation, Serge ne pouvait cacher que la main de Lola sur son sexe ne le laissait pas indifférent… La tatie Alice s’en aperçut et quitta précipitamment la maison…
Lola se posta à la fenêtre pour la regarder embarquer dans sa voiture. Elle revint ensuite près du tounu et lui demanda de se tourner pour regarder le mur. Il se fit docile et obéit. Elle lui demanda ensuite de lever les bras pour qu’elle puisse de nouveau lui attacher les bras. Comme il regimbait elle ressortit sa petite bombe ce qui eu pour effet de le calmer instantanément. Elle l’attacha donc solidement puis fila à la cuisine se servir un jus de fruits frais. Elle eut même la délicatesse d’en servir un à Serge. Elle le lui fit boire, sans omettre bien sûr d’en renverser un peu sur son torse, mais il ne lui en voulut pas. Il la remercia même de son attention. Elle lui fit un clin d’œil et ajouta…
« Je peux même faire mieux… »
Et du bout de son soulier, elle lui titilla le zizi jusqu’à ce que celui-ci se redresse, ce qui ne prit que très peu de temps… Il appréciait plus la situation qu’on aurait pu le penser, le Serge. Admirant le résultat de son travail, elle s’en alla faire un tour dans les étages, puis redescendit vérifier que l’érection de Serge persistait. Elle retourna se poster à la fenêtre.
Deux minutes. La voiture était là. Elle se précipita vers l’homme et réactiva la bandaison qui commençait à défaillir. Résultat garanti en quelques secondes. La belle-maman rentra, et tomba sur Lola, le pied toujours actif sur le sexe du grand gamin. Elle détourna le regard…
- Tu vois, on s’est bien amusé pendant que tu n’étais pas là… Je crois que Serge il aime bien être attaché… Tu devrais penser à ça pour sa Noël, des tas de gadgets pour le punir… je crois qu’il aimerait bien… Hein Serge que tu aimerais bien… Mais pas de paire de menottes hein… ça il en a déjà… parce que c’est à lui, les menottes. Tu savais qu’il avait une belle paire comme ça ? Mais non grande sotte, je parle de sa paire de menottes…
Tatie Alice jetait des regards furieux vers la jeune femme et vers le jeune homme, qui semblaient tous les deux trouver du plaisir à la situation, même si Serge tentait de faire penser le contraire en roulant des yeux…
- Bon, c’est pas tout ça, t’as le pognon ?
La femme sortit des billets de son sac à main… Et elle les déposa sur le meuble à côté d’eux. Lola s’approcha, pris la fine liasse et commença à compter. Le compte était bon… Un sourire de satisfaction éclaira son visage…
- Tu vois que tu peux être sage, quand tu veux… Et puisque tu as été aussi sage, je diminue le nombre de punitions. Il n’y en aura plus que deux… si tu es sage et que tu m’obéis bien…
- Alors, première punition…
Elle se tut quelques secondes, le temps de réellement sentir la tension qui montait dans la pièce. Serge et sa belle-mère attendaient la sentence…
- Première punition… T’as toujours considéré ce grand gosse comme un ange et moi comme une diablesse… Aujourd’hui, tu te rends compte que l’ange c’est moi… Un ange un peu coquin peut-être, mais un gentil ange… Par contre, Serge est un vilain diablotin… Il va falloir que tu le punisses… Tu vois… Je te l’ai préparé… ses fesses sont prêtes…
Elle laissa un nouveau moment de silence pour laisser aux deux autres, le temps de comprendre la suite de l’histoire… Quand elle vit qu’ils avaient compris… elle reprit :
- Bien ! Vous semblez savoir ce que j’attends de vous… 10 ! 10 vraies fessées sur son joli postérieur… Oui… Je sais que c’est un pléonasme ! Mais j’aime la formule… Allez tatie ! C’est l’heure d’enfin punir ton méchant gamin !
La belle-doche regardait le cul nu de l’homme, n’imaginant pas, ne fusse que de poser la main dessus. Lola l’encouragea du regard… D’abord de manière amusée puis en prenant un regard sévère. La femme comprit qu’elle n’y couperait pas… Elle leva la main et claqua une première fois…
Lola se mit à rire :
- Qu’est-ce que c’est que ça ? Je comprends qu’il soit comme ça le gamin, si tu l’as puni comme ça quand il était petit. C’est des caresses ça… C’est pour ça qu’il est devenu pervers… Sa tatie qui lui caressait le cul… Tu lui as caressé le cul comme ça jusqu’à quel âge ? Non, moi ce que je veux, ce sont de vraies fessées, qui vont lui rougir la peau… Allez, fini de rire… On commence pour du bon, maintenant… Une…
Et la belle-mère de claquer plus fort. Un sourire de Lola. Seconde fessée plus solide encore… puis une troisième… Elle avait trouvé et le rythme et la densité de la claque. Serge se tendait à chaque coup… Mais la douleur, à moins que ce ne fût autre chose, avait un effet surprenant sur sa queue qui manifestait avec véhémence son contentement…
Tatie Alice asséna sa dixième fessée… Les fesses avaient pris des couleurs. Mais elle ne s’arrêta pas à dix… Et il y en eut bien 15 autres avant que Lola ne décide de l’arrêter dans un bel éclat de rire.
- Bravo ma grande ! Sauf que tu ne sais pas compter ! Mais il méritait les quelques une supplémentaires ! Viens un peu regarder avec moi ce que tu lui as fait…
Et contournant l’homme, elle fit voir à sa mère la belle érection que ses fessées avaient déclenchée…
- Tu ne peux pas accepter qu’il se montre tout nu comme ça avec une bite pareille hein que tu ne peux pas accepter ça… dis lui que tu me peux pas…
- Tu ne peux pas Serge… exprima la femme dans un souffle furibard…
- Qu’est ce qu’il ne peux pas… Soit plus explicite… c’est important d’être plus explicite avec les petits s… allez dit lui les choses clairement…
- Tu ne peux pas montrer ton zizi comme ça !
- Il est comment son zizi ? Dis lui pourquoi il ne peut pas le montrer comme ça…
- Tu ne peux pas montrer ton zizi qui bande murmura la vieille
- Plus fort… Tu ne peux pas bander quand je suis là ! hurla-t-elle…
- Bien… sourit Lola…
- Et donc comme il bande sous tes yeux… il mérite une autre punition… Par précaution, je vais t’attacher quelques secondes… quelques secondes, t’inquiète pas… Allez… Donne- moi ta main…
Et elle attacha une main de la belle-maman à l’escalier, puis sortit de sa poche une petite clé qu’elle fit miroiter dans le creux de sa paume… Rapidement elle détacha la menotte de l’escalier en emprisonna la main de la femme restée libre. Elle se retrouvait maintenant attachée à l’homme tout nu… lola les détacha tous les deux de la rampe d’escalier…
Cela fit du bien à Serge qui esquissa quelques gestes visant à de dégourdir les muscles endoloris par les heures d’emprisonnement. Mais d’un geste brusque, sa belle-mère, au travers des menottes le rappela à l’ordre.
- Allez encore quelques minutes de courage et je vous laisse tranquilles. Nous disions donc que Serge avait une trique obscène… On ne bande pas devant les dames et surtout devant sa tatie qui l’aime tant, s’occupe si bien de lui et le considère tellement comme un ange… Enfin quand je dis qu’on ne bande pas devant les dames,… on se comprend ! Suivez-moi… Puisque Serge a la trique quand tu le fesses debout, on va essayer dans une autre position… tu t’assieds sur la chaise ici, voilà, et Serge tu te couches sur les genoux de ta tatie bien aimée, pour lui présenter de la meilleure manière ton super postérieur… Allez action ! Ah oui, ce n’est pas facile avec les menottes… Mais je préfère que ça se passe comme ça… je me sens plus en sécurité… Enfin, vous êtes plus coopérants… Il en a fallu du temps ! Regarde tatie comme il a un chouette cul le grand garçon… Un chouette cul pour les 10 dernières claques de la journée. Quand je dis les 10 dernières, c’est les 10 pour moi ! Après, vous ferez ce que vous voulez ! Peut-être qu’il en mérite davantage ! Tu sens bien sa queue tout dure contre ta cuisse ? Sympa hein de sentir cette queue qui palpite contre soi… hé oui, c’est comme ça quand on fréquente un obsédé… Je suis contente que tu te rendes compte de ce que c’est… Et toi Serge, tu aimes que ta bite se frotte contre les cuisses de tatie Alice ? Excitant hein !
Et Lola se pencha, attrapa le sexe dur de Serge, et le fit glisser entre les jambes de la femme…
- Comme ça, il palpite mieux, et on voit mieux comme tu prends du plaisir ! Allez Tatie, frappe maintenant. Et Serge va compter… Mais tu ne comptes que les vraies fessées… Pas les caresses hein !
Et la vieille de recommencer à user le cuir de son fils d’adoption. Et Serge de compter.
- Serge j’ai dit pas les caresses. Tu es déjà à trois, et moi je n’en ai pas encore comptée une… concentre-toi s’il te plaît…
Et Serge de recommencer au début…
Les fesses étaient bien rouges à nouveau… Et Lola tint parole.
Elle fila d’abord retirer la caméra de sa cachette…
- De jolis souvenirs ! expliqua-t-elle dans un grand éclat de rire…
- Mais je vous promets que tout ça restera entre nous, si vous ne me cherchez pas misère ! Alors, voilà comment ça va se passer maintenant… Vous allez vous mettre à la fenêtre là… Ah oui Serge, hélas, tu ne vas pas être très discret… Mais maintenant, nous savons tous que tu aimes montrer ta quéquette… Ça ne doit donc pas trop te déranger… Donc, vous vous mettez à la fenêtre. Je descends les escaliers, je mets la petite clé que voici dans la boîte aux lettres, je rajoute cette grande clé qui est la clé de ta chambre où tu espérais trouver des vêtements, et je vous fais un grand signe au revoir… Vous n’avez plus qu’à récupérer la clé…
- Mais… on ne peut pas aller dehors attachés et avec lui à poil ?
- Ce sera pourtant la seule solution… sourit à nouveau largement Lola…
- Allez bye…
Elle sortit, admira le couple baroque à la fenêtre et glissa la clé dans la boîte aux lettres. Elle n’eut pas le temps de faire le signe d’au revoir qu’ils avaient quittés la fenêtre. Elle alla se poster un peu plus loin espérant les voir débouler à la boîte aux lettres, mais ils ne sortirent pas. Ce n’est qu’au moment où elle s’apprêtait à quitter son poste de guet qu’elle les aperçut. Serge torse nu, avait enfilé un kilt de sa tante…

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